Considéré aujourd’hui comme un modèle de réussite en Afrique, le Ghana est devenu une place de choix pour les investisseurs. La Vision 2020 En 1994, le gouvernement d’Accra lance «La Vision 2020», guide de sa politique économique. Celle-ci doit permettre de combattre l’inflation, d’accélérer le programme de privatisation, de mettre en œuvre les réformes structurelles, de diversifier l’économie, d’attirer des investisseurs et de créer des emplois.
La bonne gouvernance s’est enracinée. Au plan économique, le taux de croissance du produit intérieur brut est de l’ordre de 5 % depuis plus de cinq ans. Le Ghana est le deuxième producteur mondial de cacao.
Son sous-sol regorge de diamants et de gisements de pétrole non encore exploités. L’agriculture, les services et l’industrie en bonne place L’économie ghanéenne est essentiellement basée sur l’agriculture, avec une prédominance des plantations paysannes. L’agriculture représente 40 % du PIB et occupe 60 % de la main d’œuvre. Le cacao est la principale culture d’exportation du Ghana. Il représente 35 à 45 % des recettes d’exportation du pays. La production ghanéenne de cacao est passée de 450 000 tonnes dans les années 60 à 1 million de tonnes en 2011.
Les autres produits agricoles du pays sont le café, l’huile de palme et le sucre. Le secteur minier occupe également une place de choix dans l’économie du Ghana (6 % du PIB) avec Le Ghana a retrouvé le chemin de la croissance économique, grâce à une situation politique stable et l’instauration d’un climat favorable Macro-économie à l’investissement.
L’agriculture représente 40% du PIB et occupe 60% de la main d’oeuvre d’importantes mines de diamant, d’or et de manganèse. Viennent ensuite les services et l’industrie avec respectivement 32 % et 25 % du PIB. Flux de capitaux étrangers Les succès économiques du Ghana tiennent aussi pour une bonne part, de l’apport de capitaux privés étrangers, à travers l’Acte de promotion des investissements du Ghana (1994), qui garantit aux investisseurs étrangers, la liberté d’établir des entreprises dans les secteurs potentiellement lucratifs tels que : le gaz naturel, l’hydro-électricité, l’agriculture, la transformation alimentaire, la conserverie de poisson, les industries agrochimiques, pharmaceutiques, et les technologies de l’information