Reserve Bank sud-africaine, en collaboration avec Intergovernmental Fintech Working Group, a publié cette semaine un deuxième rapport sur l’utilisation de la technologie des registres distribués pour le règlement des paiements interbancaires, se rapprochant un peu plus d’une crypto-monnaie nationale.

Pour rappel, le projet Khokha 2 a été lancé il y a un peu plus d’un an, en février 2021, et les institutions financières participantes étaient Absa, FirstRand, Nedbank, Standard Bank et la JSE. Alors que les systèmes financiers mondiaux ont régulièrement progressé au cours des 50 dernières années, passant des registres physiques aux registres numériques, la prochaine étape est la tokenisation – où différents actifs traditionnels tels que l’argent et les titres sont représentés sous forme de jetons sur les plateformes de technologie de registre distribué (DLT). L’une des applications les plus populaires associées aux plates-formes DLT est la technologie blockchain, qui héberge des crypto-monnaies, telles que Bitcoin et Ethereum.